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La disparition des insectes
Florence Gelbgras
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Des études scientifiques portant sur plusieurs dizaines d’années ont montré qu’un déclin marqué des insectes.
Les causes principales de déclin sont les pesticides, la perte et fragmentation d’habitats pour les insectes indigènes, les pollutions, le changement climatique (les bourdons sont particulièrement touchés) et les espèces invasives (cf. coccinelle asiatique). L’agriculture intensive et la perte d’habitat sont les 2 causes les plus impactantes des les régions tempérées et en régions tropicales, c’est le changement climatique et la déforestation
Les insectes sont essentiels à la pollinisation des fleurs sauvages car ils y contribuent à 90% (dans les pollinisateurs on retrouves des lépidoptères (papillons), des hyménoptères, des diptères et des coléoptères ). A l’échelle mondiale, les cultures qui dépendent directement des pollinisateurs vaudraient entre 200 et 500 milliards d’euros. Les insectes sont aussi à la base de toutes les chaines alimentaires car de très nombreux prédateurs se nourrissent d’insectes (oiseaux, mammifères, reptiles, amphibiens, …) et ils contribuent à recycler la matière organique du sol (pensons au bousier par exemple ou à d’autres insectes nécrophage, ou les mangeurs de bois). Il représentant 80% des espèces connues d’animaux.
Pour enrayer le phénomène, il faut replanter des végétaux indigènes variées et faire en sorte Que la ressources en plantes reste disponibles toute l’année, Il faut repenser notre agriculture : abandonner les pesticides, appliquer des méthodes respectueuses de nos écosystèmes en ce compris du sol qui doit rester/redevenir vivant, éviter les monocultures,….
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